Climatisation et qualité de l'air intérieur
La climatisation est souvent accusée d’être la cause de malaises ou de maladies. Ainsi, parlait-on par le passé de la maladie du légionnaire, mais on sait que la légionellose peut sévir dans tous les réseaux d’eau chaude des immeubles. Quand la climatisation a été mise en cause, seule l’absence de nettoyage du bâtiment était en cause. Il est cependant nécessaire d’effectuer une maintenance régulière. Et pourtant, la climatisation améliore l’air ambiant toute l’année : elle permet l’apport d’air neuf, tempéré et filtré, à la bonne vitesse de circulation. Elle évite les courants d’air. Elle participe donc au bien-être et à la santé de tous, en particulier des enfants et des personnes âgées : ceux qui souffrent de troubles cardio-vasculaires respirent plus aisément. Le sommeil aussi en bénéficie.
La climatisation protège des nuisances internes et externes : fumées, poussières, pollens, microbes et acariens. Elle contribue au renouvellement et à la purification de l’air respiré dans les logements grâce à des filtres intégrés qui éliminent en même temps les odeurs désagréables. Il en résulte un air propre et sain qui évite irritations, fatigue, déshydratation, transpiration et nerfs à vif. Rhume des foins, asthme et diverses allergies s’en trouvent aussi combattues. La climatisation a également un effet sur le taux d’hygrométrie qui, s’il est compris entre 40 et 60 %, diminue la moiteur de l’air ambiant.